lundi 31 mai 2010

Sondage : Les Fournisseurs d'Accès à Internet

Yann, inspiré par les déboires de Marie avec sa connexion internet, lance un sondage sur les fournisseurs d'accès à internet et le degré de satisfaction des utilisateurs. Pour y répondre, c'est ici.
Comme je le lui expliquais en réponse, j'ai un fournisseur d'accès atypique puisqu'il s'agit d'une société du Finistère, BCV Communication, qui a développé un système basé sur le Wifi, permettant aux usagers situés dans des zones non couvertes par l'ADSL (comme moi puique je suis en "pleine campagne") d'avoir accès au haut débit. En plus, ce système semble plus efficace que le Wimax, privilégié par le Conseil Général des Côtes d'Armor dans son plan de déploiement du haut débit.
En tout cas, auparavant ma connexion bas débit Orange atteignait péniblement 46,6 ko/s en réception et depuis que j'ai souscrit à la nouvelle offre, voici les résultats que j'observe en faisant un test :

Ça change tout ! Même si ça semble dérisoire par rapport à la vitesse de connexion observée dans les grandes villes en particulier.

mercredi 26 mai 2010

Le projet de loi du sénateur Jean-Louis Masson vivement contesté

Cette proposition de loi remet en cause l'anonymat dans la blogosphère en prévoyant d'appliquer aux blogueurs non professionnels les mêmes règles qu'aux éditeurs de sites professionnels, à savoir l'obligation d'indiquer nom et coordonnées.
Nombreux sont les blogueurs à avoir réagi sur le sujet : Yann en a même fait une pearltree qui remporte un vif succès. Nicolas, lolobobo, isabelle b. dans plusieurs notes, Le coucou de Claviers, Vlad, Falconhill, pour ne citer qu'eux, se sont également exprimés sur le sujet.
Certains choisissent de bloguer sous leur véritable identité, d'autres préfèrent utiliser un pseudo. L'important est de conserver cette possibilité de choix.
Wikio a lancé un appel pour la défense du droit à l'anonymat sur internet. Pour soutenir cette initiative, venez apporter votre signature ici.

mardi 25 mai 2010

Et toi, comment blogues-tu ?

Isabelle b. m'interroge sur mes habitudes de blogage, je vais donc tenter de répondre à ces quelques questions :
- Qu'est-ce qui vous inspire : des lectures, des situations de la vie quotidienne ?
Comme beaucoup, j'ai de multiples sources d'inspiration : l'actualité, le vécu, une conversation, tout peut me donner envie d'écrire.

- Qu'est-ce qui déclenche l'acte ?
L'envie de m'exprimer sur un sujet, que ce soit de manière positive ou négative d'ailleurs.

- A quel moments de la journée le faites-vous ? De quels endroits ?
Très souvent le soir chez moi, je ne suis pas une couche-tôt, et par contre le matin c'est dur ! Et quelquefois au travail le midi quand je mange rapidement et qu'il me reste un peu de temps pour bloguer.

Comment et où vous installez-vous ? Quel est votre environnement ?
Dans la mezzanine qui me sert de bureau au 1er étage chez moi. Jusque là j'utilisais mon PC de bureau, mais il est en panne depuis la semaine dernière et je me sers donc désormais de mon PC portable.

- Quels outils utilisez-vous pour écrire (un traitement de textes ou directement dans votre éditeur de billets) ?
le plus souvent directement dans l'éditeur de billets, exceptionnellement dans Wordpad.

- Faites-vous beaucoup de recherches ? Rédigez-vous beaucoup de brouillons ou d'articles que vous ne publierez pas ?
Tout dépend du genre de la note. S'il s'agit d'un coup de coeur ou d'un coup de gueule, j'écris comme cela me vient. Par contre, il y a des sujets qui nécessitent quelques recherches pour approfondir les choses, l'intérêt étant que cela permet d'apprendre en même temps, de partager des sources, de faire des liens.
En général lorsque je rédige quelque chose, je publie ensuite. Mais il y a des idées que j'ai en tête qui restent lettres mortes faute de temps.


- Ecrivez-vous en prenant votre temps ou avec une certaine frénésie ?
Avec frénésie car quand je commence à écrire, j'ai en général déjà une bonne idée de ce que je vais dire.

Maintenant, pour continuer cette "étude sociologique" sur les habitudes de blogage, je passe le relais à Le rocrocodile, Vlad, Arf et Elmone.

mercredi 19 mai 2010

Des doutes sur la qualité de l'eau du robinet

Le reportage "Du poison dans l'eau du robinet" réalisé par Sophie Le Gall et diffusé lundi soir sur France 3 a provoqué un vent de panique chez bon nombre de consommateurs. Il est vrai que le constat est plutôt alarmiste, même si le débat n'est pas nouveau. De multiples pollutions affectent l'eau du robinet, et tout cela est minimisé pour ne pas affoler les populations.
L'aluminium tout d'abord est utilisé dans les stations de traitement pour faciliter la décantation de l'eau, afin qu'il n'y ait pas de résidus boueux. au robinet Or il pourrait amplifier le risque de développer la maladie d'Alzheimer. D'autres procédés de traitement aussi efficaces et pas plus coûteux existent (le fer par exemple) mais il faudrait revoir les installations existantes. Pour prendre un exemple que je connais, l'eau de Saint-Brieuc dans les Côtes d'Armor, dépasse régulièrement le seuil en vigueur de 200 microgrammes d'aluminium par litre. Et que dire des nitrates, des pesticides dont les sols restent chargés ? Autre pollution découverte assez récemment (avant les outils utilisés ne permettaient pas de la détecter) : les résidus médicamenteux dans l'eau. Par ailleurs, dans certains endroits, l'eau serait même radioactive...
Les autorités gouvernementales cherchent à rassurer, argumentant que plus de 310 000 contrôles sont effectués chaque année à chaque stade du circuit de l'eau. Il n'empêche que l'on ne connaît pas les conséquences exactes de ces diverses pollutions à long terme. Quid du principe de précaution pourtant utilisé dans de nombreux domaines ? On cherche encore à nous tromper faute de moyens pour y remédier, ou de volonté de s'y atteler, d'aller contre certains lobbys.
En tout cas, si vous souhaitez vous renseigner sur les résultats d'analyses d'eau potable de votre région, il faut vous rendre sur le site du Ministère de la Santé et des Sports.

samedi 15 mai 2010

Les animaux et vous : résultats des courses

Lorsque j'ai lancé ce "recensement" des animaux des blogueurs, je ne m'attendais pas à ce qu'on lui porte un tel intérêt. Ce sondage à note humoristique est même devenu une chaîne à l'initiative d'isabelle B. Dans la ménagerie ainsi constituée, il y a désormais 9 chiens (shih tzu, vauquedal, westie, labrador, bouvier d'Entlebuch, bouvier bernois, teckel, golden retriever,...) et 10 chats, c'est dire si les résultats sont équilibrés entre chiens et chats. Et il y a un cochon d'Inde qui apporte sa touche d'originalité. Les personnes qui lisent ce blog ne semblent donc pas être des adeptes des nouveaux animaux de compagnie (NAC)  - rat, reptiles, amphibiens.
En tout cas, ce sondage m'a bien amusé et je remercie les personnes qui y ont répondu ici, qui l'ont relayé, et qui se sont prêtées au jeu : lolobobo, Yann, Nicolas, Didier Goux, Catherine, Vlad, Miss Rainette, Marie, Arf, Elmone, Océane, bref toutes les personnes linkées dans le présent billet.

mardi 11 mai 2010

Les blogueurs et les animaux

Ce week-end, l'humeur était aux sondages et aux statistiques sur de nombreux blogs. C'est Yann qui a commencé en collectant les âges des blogueurs(euses) qui voulaient bien le lui révêler, afin d'établir une moyenne, relayé par Nicolas et lolobobo. Puis, chez Olive, c'est cette fois le poids des blogueurs qui a été mis à l'étude.
L'idée du présent billet m'est venue en lisant le compte-rendu d'Isabelle B. sur le sujet. L'évocation de son "toutou" m'a amenée à la réflexion que pas mal de blogueurs que je lis semblent avoir des animaux, chiens ou chats principalement. Nos amies les bêtes font d'ailleurs parfois elles-mêmes l'objet d'un blog, comme la célèbre meute des gâteux.
Alors je lance un nouveau sondage auprès des blogueurs (euses) : avez-vous des chiens ou chats ? Si oui combien et éventuellement quelle est leur race ?
Moi j'ai un chien de race Golden Retriever et un chat (qui n'est pas de pure race). A vous, j'attends vos réponses.

mercredi 5 mai 2010

Bientôt une taxe sur les tickets restaurant et les chèques vacances ?

C'est ce qu'envisage le Ministère de l'Economie et des Finances. Cette info a été révélée par le journal Les Echos lundi. Et qui vont encore en pâtir ? Les classes moyennes bien sûr.
Je connais mieux le système des chèques vacances que des tickets restaurant pour la simple et bonne raison qu'à mon travail nous n'avons accès qu'aux chèques vacances. Je prendrai donc cet exemple : en fonction de notre tranche d'imposition, une partie des chèques-vacances est bonifiée, la bonification allant de 27,5% (pour un montant de l'impôt sur le revenu soumis au barème inférieur ou égal à 900 euros), à 12,5% (pour un montant d'impôt supérieur à 1650 euros). Très concrètement, quelqu'un qui a un impôt de moins de 901 euros épargne 400 euros et reçoit 510 euros sous forme de chèques vacances, tandis qu'une autre personne ayant un impôt supérieur à 1650 euros épargnera également 400 euros mais ne recevra que 450 euros en chèques vacances. On voit donc tout de suite que le système est plus intéressant pour les petits revenus, je ne suis pas sûre que les gens ayant plus de moyens y portent grand intérêt.
Si les tickets restaurant et les chèques vacances étaient effectivement taxés, les employeurs seraient certainement plus frileux à ouvrir cette possibilité à leurs salariés. A l'heure où les charges fixes occupent une part de plus en plus importante dans le budget des ménages, cela signifierait une nouvelle claque au pouvoir d'achat. C'est en effet grâce à ces titres que nombre d'entre nous peuvent se permettre un restau ou de partir un week-end.
Déjà depuis le 1er mars le paiement par tickets restaurant dans les grandes et moyennes surfaces est plus encadré : ils doivent servir à payer sandwiches, plats préparés et autres salades... avec une limite de deux titres restaurant par client. Les plats tout prêts - et donc plus chers - ont l'exclusivité, alors qu'il est certainement meilleur pour la santé d'acheter les ingrédients pour préparer soi-même son repas, pour ceux qui le peuvent et le souhaitent en tout cas.
En ce qui concerne l'éventuelle taxe, rien n'est encore décidé, des arbitrages devraient avoir lieu avant l'été.